Un ciel azur serein, calme en apparence, Mais sous cette quiétude naît une puissance. Des vagues noires jaillissent, prêtes à rugir, Tranchant l’horizon, prêtes à submerger l’avenir. Le bleu éclatant, paisible et profond, Cache en ses flots une force qui gronde. Ces lames noires, affûtées comme des serres, Fendent les eaux avec une colère éphémère. Les manches écarlates, comme des avertissements, Sang vif de l’orage, cris des éléments. Le blanc pur s’égare en volutes fugaces, Brume légère avant que tout ne s’efface. Le Tsunami Noir ne prévient pas : il frappe, Fureur silencieuse qui jamais ne s’échappe. Une promesse de chaos, une vague sans remords, Prête à engloutir le monde en un souffle, en un sort.