"Chronique Urbaine"
Dans les rues effervescentes de la ville, là où les histoires se croisent et se mélangent, un journaliste de renom nommé Augustin Leclerc se battait chaque jour pour rendre compte de la vérité à travers son écriture. Son style était incisif, clair, mais aussi poétique. Chaque mot qu’il écrivait était une œuvre d’art en soi, un reflet de l’époque, une empreinte de la société.
Un jour, alors qu'il parcourait les archives d'un ancien quotidien, Augustin eut une révélation : et si les pages des journaux pouvaient devenir quelque chose de plus qu'une simple information imprimée ? Et si elles pouvaient s’exporter dans le monde de la mode, se transformer en une toile vivante qui capterait l'attention et l'imaginaire des passants, comme un article poignant, mais sous forme de vêtement ?
C’est ainsi qu’il imagina une veste. Une veste qui serait la rencontre entre l'encre noire des journaux et l’intemporalité du blanc du papier. Le design de la veste était inspiré par les pages de journaux en plein cœur de la ville, capturant les motifs des titres, des colonnes de textes et des coupures qui se tordaient et se fondaient dans un enchevêtrement graphique.
Ce projet révolutionnaire se concrétisa en collaboration avec Adidas, et la veste prit forme. Le noir, comme la couleur de l'encre, symbolisait l'intensité de l'actualité, tandis que le blanc représentait la pureté du message, un espace où chaque information pouvait trouver sa place. La texture du tissu, comme un papier de journal, donnait l’impression que la veste elle-même était une couverture d’édition spéciale.
Porter cette veste, c'était devenir un narrateur de l'instant, un témoin actif du monde qui nous entoure. À chaque mouvement, elle racontait une histoire, chaque coin du vêtement était une page à tourner, une nouvelle aventure à découvrir.
Nom de la veste :
"Chronique Urbaine"
Le nom fait référence à l’idée de chroniques, ces récits de la vie quotidienne qui sont inscrits dans les journaux, mais aussi dans notre culture, notre mode de vie. "Urbaine" capture l’essence de la ville, de l’évolution rapide de l'information, et du design moderne qui trouve ses racines dans l'architecture de la ville et l'art du journalisme.